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Léo Henry, un dernier mot...

Léo Henry, un dernier mot...

Léo Henry, auteur du Casse du continuum (Ed. Gallimard, Folio), se prête au jeu.

Le premier livre ?

Chouette soirée de Simone Schmitzberger et Volker Theinhardt pour les illustrations.

Le dernier livre lu ? C'était comment ?

Une chambre à soi de Virginia Woolf.
Riche en pistes pour la suite (le patriarcat, les conditions matérielles
de création, le fascisme italien, etc.)

Qu'est ce qui vous fait sauter des pages ?

La recherche d'un renseignement ou d'un passage précis.

Un rêve qui pourrait être un début de roman ?

La visite récurrente de ma maison-dans-les-rêves (elle est partiellement à l'abandon et percée de passages).

Le personnage de roman dont vous vous sentez le plus proche ?

Milo Milodragovitch (James Crumley). Mais pas trop proche quand même.

Un rituel de lecteur ?

Je déteste être interrompu dans la lecture des dernières pages.

Un livre qui vous a empêché de dormir ?

Frankenstein de Mary Shelley (j'avais huit ou neuf ans)

L'écrivain dont vous n'oseriez jamais dire du mal ?

J'ose tout.

L'écrivain dont vous oseriez dire du bien ?

King. Despentes. Les stylistes populaires en général.

Le livre disparaît à tout jamais ? Une épitaphe ?

To be continued.