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Nathalie Sonntag, un dernier mot...

Afin de prolonger les rencontres avec les auteurs invités de la librairie, nous leur soumettrons un questionnaire inspiré de la rubrique Séance tenante du journal Libération.
Nathalie Sonntag, auteur du Lieu du monde (Ed. Médiapop), est la première a se prêter au jeu.

Le premier livre ?
Oscar Belloie, prends garde à toi ! de K.R. Whittington

Le dernier livre lu ? C'était comment ?
16 études pour une histoire culturelle des vues aériennes de Mark Dorrian et Frédéric Pousin. Vertigineux.

Qu'est ce qui vous fait sauter des pages ?
Je ne saute jamais de pages, sauf quand il faut que je sache si la torture est bientôt finie.

Un rêve qui pourrait être un début de roman ?
Fines, aériennes, puissantes. Zoom sur les mains de Stan Michalak, magnifique contrebassiste.

Le personnage de roman dont vous vous sentez le plus proche ?
Buck, le chien dans L'Appel sauvage de Jack London (Ex-Appel de la forêt mais nouvellement traduit chez Phébus)

Un rituel de lecteur ?
Avoir des post-it pas loin, écrire en tout petit, dessus. Puis les perdre.

Un livre qui vous a empêché de dormir ?
Les Fragments Solander de Pierre Cendors et La Théorie des cordes de José Carlos Somoza.

L'écrivain dont vous n'oseriez jamais dire du mal ?
Alcide Mennechet. Déjà qu'on n'est pas tout à fait sûrs qu'il existe, le pauvre...

L'écrivain dont vous oseriez dire du bien ?
Allez, j'ose ! Gabrielle Wittkop, parce qu'elle a écrit Le Nécrophile et que ce n'est pas piqué des vers.

Le livre disparaît à tout jamais ? Une épitaphe ?
Qui m'aime me suive.