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Mathieu Riboulet, un dernier mot...

Mathieu Riboulet, un dernier mot...

Le premier livre ?
Pas de souvenir, mais un des premiers à m'avoir aspiré : Le Capitaine Fracasse, Théophile Gauthier

Le dernier livre lu ? C'était comment ?
Colline
de Jean Giono, son premier, tout y est comme on dit souvent : le grand flux de la langue qui balaie tout.

Un livre sans cesse relu ?
A la recherche du temps perdu
de Marcel Proust.

Une citation sue par coeur ?
Aucune.

Un livre dont vous remettez toujours la lecture à plus tard ?
Moby Dick
de Melville

Un livre que vous citez souvent sans l'avoir jamais lu ?
J'évite…

Un livre culte dont vous seule connaissez l'existence ?
On est toujours au moins quelques-uns, ça s'appelle une société secrète !

Qu'est ce qui vous fait sauter des pages ?
Rien. Je lis tout ou j'arrête en route.

Un rêve qui pourrait être un début de roman ?
Je ne pense pas que les rêves soient de bons candidats à l'écriture…

Le personnage de roman dont vous vous sentez le plus proche? L'intercesseur, du genre le prince Mychkine (DostoIevski) ou la mère de Tandis que j'agonise (Faulkner).

Un rituel de lecteur ?
Aucun en particulier.

Un livre qui vous a empêché de dormir ?
La vie m'empêche plus souvent de dormir que les livres…

L'écrivain dont vous n'oseriez jamais dire du mal ?
Aucun, s'il y a à en dire !

L'écrivain dont vous oseriez dire du bien ?
Tous, s'il y a à en dire !

Le livre disparaît à tout jamais ? Une épitaphe ?
Pas d'épitaphe, si un jour le livre disparaît c'est que nous aurons disparu aussi